En hiver il neige, en automne il pleut, au printemps il tombe des canettes xP [ privé : AymI ]

[ Premier poste de Mike - sous le nom de Max xD. Trop l'honneur de poster la première avec notre petite admin <3 Je mangerais bien un éclair au chocolat x) ]

Une belle journée de printemps ensoleillé. Un bulding tout de verre et d’acier. Première étage : des bureaux, des employés, beaucoup trop employés courant en tout sens. Un enfer de stresse et de commérages Deuxième étage : même topo. Troisième étage : Rebellote. Et ainsi de suite sur une dizaine d’étage : 4,5,6…10,11. Douzième étage : Ah ! Là ça a changé ! A première vue on se trouverait dans le bureau du patron, le Big Boss qui fait travailler tout les pauvres malheureux des étages inférieurs. J’ai dit à première vue car avec toutes ces caméras, ces écrans, et ces hommes ressemblant vaguement à des assistant, on pouvait pas louper qu’on était pas dans un bureau ordinaire. Dans la pièce d’à coté le réalisateur des fruits de la passion était au téléphone avec sa fille :


Au rez-de-chaussée, un jeune homme, plutôt canon sortait de l’immeuble : son sac sur son épaule, la tête dans les nuages, deux cerises tatouées sur le cou. Par derrière arrivait la nouvelle recrue du domaine : Angella, 1m80, jambe immense pour seulement 17 ans. Elle sauta sur Max, elle n’avait pas prit la peine de se changer contrairement à lui. Elle portait encore sa tenue de secrétaire ultra sexy avec des talons qui lui donnait vraiment des jambes interminables. Elle lui sourit tout en posant son éternelle question :


Max lui rendit son sourire sans s’arrêter de marcher, la jeune fille à ses cotés. Ca faisait un mois que le tournage avait commencé et une semaines qu’il tournait avec Angella mais elle ne s’était pas encore remises de ses émotions. Elle n’arrêtait pas d’appeler ses copines pour leur dire qu’elle tournait avec le célèbre Max. Façon détournée de dire qu’elle couchait avec lui depuis une semaine dans un bureau de directeur, ce que normalement – mais je ne crois pas qu’elle si tienne – elle ne pouvait pas dévoilé.


Max mit ses lunettes d’aviateur sur son nez, regardant les gens qui chuchotaient sur son passage, sentant qu’Angel’ le dévorait des yeux. Elle lui avait avoué qu’elle était une de ses plus grandes fans et qu’elle le trouvait trop craquant – il s’était d’ailleurs demandé comme c’était possible alors qu’elle mesurait cinq bon centimètre en plus sans parler des talons – mais Max lui avait bien fait comprendre qu’en dehors des tournages, il ne se passerait rien entre eux. Elle avait un peu boudé mais avait fini par faire contre mauvaise fortune bon cœur. Deux filles firent un signe dans leur direction et Angella leur répondit. Derrière se trouvait un mec dans le genre boxeur, l’ancien copain de sa partenaire. Il avait les sourcils froncés, peu content de voir son ex avec cette " stupide " star du porno.


Max passa sa main dans les cheveux de la jeune fille, approcha ses lèvres des siennes et ils s’en donnèrent à cœur joie : elle car elle y prenait un plaisir fou, lui car c’était un véritable connard qui aimait faire chier son monde. Il ne s’arrêtèrent que quand les copines d’Angella lui firent remarquer qua ça faisait cinq minutes qu’elles attendaient qu’il finissent de se tripoter en pleine rue. Elle embrassa le Playboy sur la joue et partit avec ses copines. Max’, lui, se remit en marche vers son appartement et tandis que Pika sortait de son sac, il rit au « tu ferrais mieux de t’acheter des échasses salaud ! » que lui lançait Mark.


Le fennec robotique sur son épaule lui donna un petit coup de tête amical avant de répondre à sa question.


Max prit l’oreillette sur le dos de Pika, l’accrocha à son oreille tout en demandant à son fennec de joindre sa petite amie. Après deux secondes, Lala avait déjà décroché. Elle était furax et il était évident qu’il aurait droit à l’engueulade s’il ne parlait pas le premier :


Une canette venait d’atterrir sur sa tête ...

La fin du printemps se faisait chaude à Azaroshi, aussi chaude que l'été lui-même. Beaucoup se plaignaient de la trop haute chaleur dans leur conversation, se servant de leurs mains comme ventilateur personnel. A chaque printemps, Aymerick ne pouvait s'empêcher d'écouter les conversations des gens malgré que ce soit impoli comme ils diraient. Mais après tout, il ne voyait vraiment pas le mal: la pluie et le beau temps, tout le monde connait, non?
Aymi' se baladait en ce début d'après-midi, en ayant évidemment sècher les cours une fois de plus. Cela faisait plus de deux heures qu'il marchait sans s'en lasser, appréciant les rayons du soleil sur son visage. Il a toujours aimé celui-ci, même pendant la canicule. Jamais il ne comprendra les gens : quand le soleil est là, ils râlent qu'il fait trop chaud et quand il se porte absent, il faut qu'il revienne ! Bizarres ces gens... Tout le long du chemin, il avait entendu beaucoup de gloussements, tantôt discrets, tantôt effrayant, même. C'était ça le désavantage d'écouter les conversations, il devait accepter tout ces commentaires sur son passage mais bon, il avait appris à vivre avec à la longue. Ce qui n'empêchait pas le fait qu'il détestait le fait qu'on lui accorde autant d'importance niveau physique. Arrivé devant un grand immeuble de 10 étages, le jeune homme sentit Mio'ho sortir de son sac. Elle s'étira un instant, avant de lui adresser la parole.

- Hello, Aymi' ! Tu es toujours sûr de ne pas vouloir écouter ou supprimer des messages? Parce que ma réception commence à saturer...

- Ah, excuse, je n'y avais pas pensé [ Sourire ] Vas-y, je t'écoute.

- Adrian voudrait que tu préviennes l'entraîneur qu'il ne sera pas là aujourd'hui, il se sent pas bien. Pour le reste, à part les messages de tes fans et de ceux que tu t'es mis à dos, je ne vois rien d'autres.

- Ok, tu peux les supprimer et tu gardes le mail d'Adrian. Je serais capable d'oublier de prévenir l'entraîneur, moi...

- Ouf ! Enfin libérée !

Aymerick rit à la réaction de son Animashi avant de sortir une canette de son sac. Sa promenade lui avait donné grand soif, et pas question de s'arrêter de marcher. Pourtant,... quelque chose retint l'attention du garçon : Marc se trouvait devant l'immeuble, en train de traiter un homme de sala*d pour ensuite partir en compagnie de sa petite amie, ou plutôt son ex, avec deux autres filles. Angella était connue par tout les pratiquants de boxe, karaté et autres du pensionnat, car malgré son mètre 80, les garçons la trouvaient " sublimissime " comme ils disent. C'est Marc qui avait eu l'honneur de sortir avec elle, même si avant, elle avait demandé à Aymerick qui lui avait répondu non direct. Les filles regardées par tous, qui pouvaient changer de mecs autant qu'elles le désiraient, c'était pas tellement son rayon... Il acheva sa canette, avant de regarder la dispute entre Marc et Angella.

* Pauvre gars... Faut dire aussi, voir sa copine entrain de grimper sur un autre mec, c'est pas tellement ce qui va donner le sourire. Et l'autre qui est en train de causer à sa vraie petite copine,... Il va se prendre Angella à dos et ils font mal ses talons aiguilles. Vive le célibat' ! *

Aymerick jetta sa canette derrière lui, avant d'entendre quelque secondes plus tard la voix de la personne en question arrêter sa conversation et pousser un cri d'énervement. Erick se retourna, et remarqua que même quand il voulait pas faire de c*nneries, il fallait que ça le laisse paraître... Il regarda le jeune homme dans les yeux, avant de s'avancer vers ce dernier qui n'avait pas eu l'air d'apprécier ce geste... Compréhensible...

* Oups ! Oh il avait qu'a pas être là. Et puis, vaut mieux qu'il se prenne une canette que le poing de Marc dans la figure. Mais... attend voir, c'est quoi qu'il a sur le cou, lui? *

En y regardant de plus près, Aymerick apperçut des cerises tatouées sur le cou du jeune homme, qui avait l'air d'avoir remarqué le fait qu'il le fixe au niveau de la nuque. C'était donc lui, le mec cerise surnommé " Cherry-Cheri". Après avoir envouté presque toutes les filles d'Azaroshi, il était devenu acteur pornographique, mais la première chose qui vint à l'esprit d'Aymerick n'était pas de la jalousie. C'était plutôt...

- Ah ben j'ai compris pourquoi il était furax ! Tu es " Cheri-... quelque chose, le gars cerise. Mais c'est pas possible, c'est vraiment toi? Parce que t'as pas la tête à coucher tout les soirs.

* Mince, je reviens de faire une boulette *

- On doit sûrement te le dire souvent, alors je suppose que ça t'a pas blessé. Enfin j'espère.

Aymerick ramassa la canette avant de la jeter dans une poubelle non loin de lui. Il ne l'avait pas remarquée et ne dit-on pas qu'il faut faire attention à l'environnement? Aymerick revint près de Max, avant de dire.

- Pardon, je crois que j'ai oublié de me présenter: Sato Aymerick.

Max regarda la canette qui venait de nul part pour atterrir sur sa pauvre tête. Enfin par réellement de nul part à croire le regard de l’idiot de derrière c’était sûrement sa canette. Quoique que c’était un idiot plutôt mignon, il allait peut-être pouvoir lui pardonner alors. Ignorant le fouteur de trouble, Max termina sa conversation :


Pika raccrocha et Max remit l’oreillette à sa place, tout en regarda le jeune homme qui n’avait pas bougé. Pendant tout le temps qu’avait duré sa conversation, le lanceur de canette n’avait eu de cesse de fixer sa nuque. Max n’était pas stupide, il savait que c’était ses deux cerises qu’il lui valait une telle attention. Dans quelque secondes, une fois que ses neurones se seront connectés, l’idiot mignon, se rendra compte qu’il est en face de la nouvelle star pornographique : Max.
Même s’il s’attendait à une réaction sortant de l’ordinaire, il ne s’attendait quand même pas à ça. En plus de lui balancer des canettes sur la tête des gens on dirait que son interlocuteur s’amuse aussi à les espionner. Il devait avoir vu la scène qui venait de se passer il y à peine dix minutes. Et si les hypothèses de Max étaient bonnes – ce qui étaient souvent le cas – il devait connaître Mark. Mais qu’importe, on s’en moque au fond. Max, fit glisser ses lunettes de manière à le voir au-dessus des verres. Quand il se mit à parler sa voix n’exprimer aucune gêne, juste un semblant de dérision.


Max enleva complètement ses lunettes, les posant en équilibre dans ses cheveux pour pouvoir regarder avec plus d’attention le jeune homme. Sa première impression était la bonne, il était plutôt mignon même si jeter une canette dans un poubelle n’avait rien de très sexy… Alors que Max contemplait sans aucune gêne, le postérieur de celui-ci, Pika attira son attention.


Max regarda Pika en souriant. Son fennec avait un air semi-exaspéré comme pour dire qu’il était irrécupérable. Notre acteur lui répondit tout en prenant avec un air pseudo-offusqué :


Le " Beau cul " venait justement de se présenter : Sato Aymerick de son nom. Max lui sourit, de son habituel sourire charmeur, tout en lui serrant la main.


Mark venait de rappliquer, Angella sur ses talons…

Max passa une main décontractée derrière sa nuque, commençant à fredonner un de ses airs préférés, des sacred bien sûr [ =P ]. Il aurait peut-être dû avoir peur, comme toute personne normal quand on y pense, devant l’imposante carrure de Mark mais c’était loin d’être le cas. Le jeune homme avait l’habitude des retours de colère des jaloux. Il ne fallait pas croire qu’il était à son premier coup d’essai. Il avait l’art de se défendre verbalement parlant et si cela ne suffisait il ne valait pas oublier qu’il avait une pointe de vitesse extraordinaire, comme tout bon joueur de handball s’entend. Il ne pouvait cependant que répugner cette dernière possibilité car Maxime lui avait toujours apprit qu’il était d’une lâcheté humiliante de s’enfuir en pleine baston. Mais bon, Maxime lui ne mesure pas un petit mètre septante-cinq et avait une force de malade. Tout sourire, Max adressa un clin à Angella tout en regardant en coin le lanceur de canette mettre sa casquette.


Max lui adressa son sourire le plus angélique. Il lui resterait redevable à vie de toute la confiance qu’elle avait en lui. Mais avant qu’il ait pu dire quoi que ce soit, Aymerick la menace avait prit les reines. Le sourcil droit de Max se releva ce demanda ce que son idiot mignon avait encore bien trouvé. Il comptait balancer des canettes à la tête de Mark ? Car alors là ça risquait de devenir un sacré désastre ! Quoiqu’il semblait qu’il pouvait faire encore plus débile, en se faisant passer pour son garde du corps par exemple…


Bien entendu un mensonge tout aussi décousu ne tient pas deux minutes. Angella eut vite fait de remarquer qu’Aymi' n’avait pas la tête des gardes habituel de notre acteur. Max sourit, tout en regardant Angel’ serrant son idiot désabusé dans ses bras. Il décida qu’après tout le spectacle fallait la peine de ne pas intervenir, et s’assit sur une barrière non loin du lieu du petit spectacle. Max, s’accordant deux petite minutes d’état d’esprit " Mike ", ne put s’empêcher d’éclater de rire comme si cette scène ne le concernait pas. Même s’il détestait tout ce qu’il faisait sous sa carapace d’acteur pornographique, il faut avouer qu’il n’aurait jamais rit ainsi sans elle depuis le coma de Maxime. Il continua donc à regarder les trois compères de loin, hilare tout en échangea des commentaires avec Pika.


Nouvelle hilarité tandis qu’Aymerick revenait vers lui. Il semblait plus que fâché, sa casquette posé avec style sur sa tête. Max souriait, moqueur, tout en écoutant l’autre vomir toute sa mauvaise humeur.


Max continua à le regarder, sans essayé de cacher son hilarité…

Le soleil brillait au-dessus de deux ados. Le premier, nonchalamment adossés à une barrière le visage irradiant d’hilarité fixait le deuxième dont la fureur se lisait dans ses yeux. Petit à petit, alors que le jeune homme aux cerises tatouées dans le cou finissait sa phrase, la fureur fit place à l’étonnement chez le garçon nommé Aymerick. Max, l’écouta parler d’une voix cette fois-ci nettement plu calme. Il n’arrêta pas de sourire. Il souriait tout le temps, son sourire était malgré sa grande beauté ce qui attirait le plus l’attention. Quoique maintenant, vu la tournure que la discussion venait prendre, il n’avait plus question de ce mettre à draguer son idiot mignon. Et puis surtout, il avait envie de retrouver Ladya et non de se disputer avec elle au sujet d’un lanceur de canette.
Mais après qu’Aymerick aie terminé sa phrase hésitant, Max avait fini de sourire. Il semblerait qu’il était pas aussi idiot qu’il paraîtrait à première vue celui-là. D’habitude on se contentait de dire qu’il était excentrique, provocant, trop sur de lui voir même quelque rare fois superficielle : rien qui pourrait l’inquiété outre mesure. Mais étrange, non on ne lui avait jamais encore dit. Personne n’avait poussé l’analyse jusque là. Il ne manquerait plus qu’il se mette à parler de dédoublement de personnalité et là, Max-Mike la sentirait plus que mal…
Cependant, Aymi’ n’avait pas fini sa réflexion et au grand soulagement de l’acteur ne s’attarda pas plus que ça sur son coté étrange. Mais il restait tout de même sur c’est garde. Il avait tenu deux ans, c’était pas le moment que tout se mette à partir en cou*lle. Il ne pouvait pas se permettre de faire la moindre gaffe, pas avant que Maxime se réveille. I lui devait bien ça. Un sourire en coin réapparut sur le visage de Max qui prit la parole d’une voix quelque peu lointaine :


Max s’arrêta là. Il n’avait pas envie de continuer car s’il connaissait Mark, son interlocuteur devait sûrement pratiquer un quelconque sport de combat. Et il n’avait aucune envie de pratiquer un petit footing d’après-midi et encore moins d’avoir à essuyer la honte d’une fuite devant Ce type. Il fallait donc essayer de ne pas être trop provocant. J’ai bien dit d’essayer car autant Mike était discret, une fois dans la peau de Max il lui devait impossible de fermer sa grande gue*le. Mais il n’eut pas à faire de grand effort car c’est Aymerick qui reprit la parole en premier. Il semblerait une fois de plus qu’il se moquait complètement de ce que pouvait dire Max. Car il n’arrêta pas là son analyse de petit philosophe en herbe.


Max soupira, tira sa tête vers l’arrière. Rare était les fois où il avait fait preuve d’autant d’intelligence, quand on y réfléchissait ça faisait même plus Mike que Max. Mais il s’en moquait agresser ce pauvre gars qui lui avait pourtant rien fait l’avait soulagé, grandement soulagé. Il avait posé des questions dont il ne cherchait paradoxalement aucune réponse. Dans deux ans il disparaîtra alors peu importe qu’on l’aime ou pas…
Max avait toujours sa tête penchée vers l’arrière quand son interlocuteur repris la parole. Il se releva, le regardant dans les yeux. Il ne fallait quand même pas oublier la politesse…

Max fut quelque peu étonné d’un changement d’attitude d’Aymerick. Le jeune homme avait abandonné toute agressivité et paraissait même quelque peu déboussolé. Il semblerait, aussi stupéfiant que cela puisse être qui essayait de repartir sur de bonne basse. Il devait sûrement être de nature lunatique ou alors c’était le soleil qui lui tapait sur la tête. Faut pas prendre les consignes de sécurité pour des badinages ! Il a beau illuminé nos journée, il peut jouer de vilains à nos petit cerveaux décervelés celui-là. Comme quoi il ne faut vraiment pas se fier aux apparences. Justement, c’est cette phrase qu’Aymi’ relança à la sauce Max’, décrochant le sourire de celui-ci.


Le jeune homme continua sur sa lancée. Max souriait franchement maintenant, passant par simple habitude sa main dans ses cheveux déstructurés. Son lanceur de canette voulait apprendre à le connaître vraiment. Mais ça c’était bien plus compliqué que ça semblait l’être au premier apport. Il était évident qu’il ne le connaîtrait jamais Vraiment, pas au vrai sens du terme du moins. Toutefois, même si Aymerick ne connaîtra jamais Mike – sauf si avec sa chance de dingue il le croisse dans les couloirs d’une école où il va deux fois par an [ xD ] – ça ne l’empêchait pas de faire véritablement connaissance avec Max. Notre acteur allait prendre la parole quand Aymi’ se frappa la tête accusant le soleil de son retour de philosophie.


Changement radical dans le ton des deux garçons. Comme s’il ne s’était jamais disputé alors qu’il y a encore dix minutes ils jouaient tout deux le jeu de la provocation. Rein n’est fixé à l’avance, la roue peut toujours tourné à n’importe quel moment. Ca Mike le savait, il en avait mainte fois payer les frais. La voie n’est jamais toute tracé, il suivit d’une instant, une décision et tout se retrouve basculer pour le meilleur comme pour le pire. Ce qui va suivre en donnera même un exemple…
Max adressait justement son plus beau sourire à Aymi’ quand Pika sortit en catastrophe de son sac à dos. Il fut des plus étonné car c’était rare quand son fennec se montrait quand il était accompagné – ça risquerait de faire un lien avec Mike. C’était rare et la plupart du temps signe d’un quelconque malheur. Cette fois-ci ne vit pas exception à la règle


Max perdant son sourire, prit rapidement l’oreillette sans même prêter attention au fait que Pika avait dit, par pur réflexe, Mike au lieu de Max. Il prit la communication tournant le dos à Aymerick ce qui n’empêchait pas ce dernier de tout entendre…


Elle était là, Angella, les poignet rouge d’avoir été trop serré, l’œil au beurre noire, les cheveux dénoué et ses bas collants troués. Aucun doute la-dessus Mark avait de nouveau essayer de s’approprier ses faveurs… par la force.

Angella raccrocha, Max fit de même. Il se regardèrent pendant quelque temps : Angel’ mal à l’aise, Max le sourire malheureux. Il ne fallut pas longtemps à la jeune fille pour plonger dans ses bras, les larmes finissant par couler doucement de ses yeux rougis par le chagrin tachant de petites taches obscures la veste de cuir vieillit de notre acteur. Une voix, mélange de rage et de chagrin sur un arrière fond d’amertume, la voix d’une femme blessée. Quand Max lui répondit sa voix se voulait rassurante mais n’arrivait pas à se défaire de sa tristesse :


Angella pleurait contre l’épaule de Max et ce n’est que quand Aymerick pulvérisa la barrière de son poing qu’ils se rappelèrent de sa présence. Il semblerait que l’idiot – qui ne l’est plus – mignon ait des poussée de culpabilité. Sans la moindre notion de prudence, il était partit dieu ne sait où avec un esprit qui n’avait plus l’air de pouvoir réfléchir sur le concept de survie élémentaire. Max comptait bien le rattraper mais avant il y devait attendre la réponse de Ladya à l’appel de Pik-pik. Espérant que sa belle ne prendrait pas trop mal l’arrivée de sa rivale dans sa propre maison, il séchait du doigt les larmes d’Angella. C’est à ce moment-là que Pika sortit du sac à dos, bonne nouvelle après la mauvaise : le cycle continu des vies les plus complexes comme des plus banales.


Pika bascula en mode veille et, suivant son conseil, Max demanda à Angella de rester là en attendant la voiture et prit la direction qu’avait prit Aymerick il y a cinq petites minutes. Il n’était pas très difficile de suivre, il suffisait de tendre l’oreille à la mêlée de mot plus imprononçable les uns que les autres, un monologue digne du gangsters le plus imbéciles traînant dans les anciennes rues de la capitale. Bref, rien qu’on aurait pu assimiler au jeune homme, graine de philosophe à deux balles, lunatique de naissance. Mais pourtant, suivant ce lamentable spectacle comme les rares passant à cet heure de l’après-midi, Max fini comme il s’en doutait à tomber sur le jeune pensionnaire. Il lui attrapa le bras dans le but de le stopper avant de devoir l’accompagner à l’hôpital au cas où leur route croiserait celle de Mark. Mais notre acteur ne s’attendait pas à ce que la fureur de son mignon soit si grande… il devait vraiment s’en vouloir. Néanmoins, ce n’est pas des yeux revolvers [ elle a les yeux revolvers, elle a le regard qui tue ( 8 )… Ok j’ai compris je me tais xD ] et un ton qui se voulait cassant qui allait arrêter Max, il en avait vu bien d’autre… D’une voix calme, ponctué d’une onde de moquerie, il s’adressa à Aymerick :


Tandis que les deux compères papotaient gaiement, jeu de provocation en option, le tyrannosaure rex avait fait son apparition. Malgré ce qu’il venait de faire il semblait profondément vexé que le jeune pensionnaire le traite de cette façon car sa voix était glacial. Aymerick, le fou de service, n’avait pas écouter le moindre mot de ce que lui avait dit Max et ci s’était le cas son cas était vraiment désespéré car la transmissions jusqu’au cerveau semblait mettre du temps à s’accomplir. Donc, comme on devait le deviner, sa réponse à la question de Mark fut saluée par une droite bien positionnée. Si le but de cette démarche était véritablement un œil au beurre noir, il allait être servit.

Aymerick s’était éloigné, sûrement dans le but de l’épargner. Ce qui en fin de compte ne servirait pas à grand chose vu qu’Aymi démoli, Mark n’aurait aucun scrupule à s’attaquer à notre acteur. Mais bon, son idiot mignon n’avait pas l’air d’avoir souvent de bonnes idées… Max n’ayant pas trop l’envie de voir sa belle gueule de Playboy défigurée par une frappe ratée, s’assit à une dizaine de mètre du champs de bataille, laissant l’autre réglé les problèmes avec sa propre méthode masochiste. Ce n’est pas qu’il voulait qu’Aymerick se fasse relooker – il était trop mignon pour faire un tel gâchis – mais le père de Ladya n’accepterait pas un retard d’un mois dans son film pour cause de cocard. Il remit ses lunettes sur ses yeux. Les regards des passants commençaient à se faire insistants et bien qu’elle ne dissimulaient pas son identité, elles lui rajoutaient un petit trucs en plus. Max, pensant, à tors, que ces deux –là en auraient encore pour un petit bout de temps à se lancer des répliques puérils, chantonnait tout en regardant sa montre. Son attention ne fut une nouvelle fois attirée vers les combattants que quand il entendit un bruit étouffé. Il semblerait qu’ils soient passé de la parlotte aux poings. Content qu’il y ait enfin un peu d’action, notre acteur reporta son attention sur son candidat préféré. Il n’avait jamais parié, pour la simple et bonne raison qu’il avait toujours apprécié les candidats les plus susceptibles de perdre. Et comme pour lui prouver qu’il avait tord, Aymerick répliqua à la perfection, d’une pirouette inattendue. Il était évident qu’il pratiquait un sport de combat et à en juger par sa prestation, il devait être dans le haut du classement. Le spectacle promettait d’être divertissant mais malheureusement il n’en profita pas : Ils étaient arrivés.


Aussi discrets et professionnels qu’ils n’étaient moches, les gardes du corps de Max se chargèrent des deux gars. Même si la tâche semblait impossible, ils n’eurent aucun mal à les séparer bien que le tyrannosaure ne semblait pas avoir l’envie de coopérer. Aymerick, lui, prenait à cœur sa tâche de héros suicidaire en voulant à tout pris se faire rectifier le portrait. Mais les ordres de Max avait été clairs : On amoche pas le petit même si il vous l’ordonne et que dans ce cas la tentation est forte. En parlant de Max, tel le Big Boss, la star du moment, il regardait ses ordres s’exécuté de loin. Mark se débattait, il l’aurait parié mais il ne faudra pas longtemps à ses gardes du corps pour le maîtriser sans le moindre petit efforts. Ils en avaient vu bien d’autres… Notre acteur, oubliant le mastodonte, reporta son attention sur son félin. Il lui sourit alors qu’Aymi’ affichait une mine boudeuse comme si il avait eut véritablement l’intention de terrasser Mark – il y en a qui rêve toujours… Il paraissait, par contre se rendre compte que son imitation du « garde du corps de monsieur Max » était bien loin de la réalité.


A peine eut-il fini de parler, qu’un animashi, chat de surcroît, déboula ne pouvant s’empêcher de parler à tout va. Max fut un peu surpris. Il aurait pourtant du savoir que tout les animachis n’était pas aussi discret que Pika, comme le prouvait si bien cette Mio’ho, si tel était son nom.
Mais sa discussion avec Aymerick terminée, elle repartit comme elle était venue : soudainement. Haussant les épaules, Max répondit à son idiot son sourire angélique sur le visage :


Tout d’un coup, Max perdit son sourire et tout en se rapprochant d’Aymerick passa une main sur le dessus de son œil, frottant doucement le sang qui commençait à y couler. Il mordait le coin de sa lèvre, perplexe voir même inquiet en parlant d’une toute petite voix :


Sortit de ses pensées, Max sursauta légèrement avant de ses retourner vers ses gardes du corps. Il en avait franchement rien à faire de Mark, et même s’il avait une grande envie d’ordonner à ses gardes du corps de s’occuper un peu de son look mais il était plutôt du genre à éviter les mauvaise pub gratuite.


Mark repartit furieux mais pas bête au poids de chercher Max. Il commençait à le connaître assez pour savoir qu’il parlait rarement à la légère : tout ce qu’il disait il le pensait. Notre acteur, se retourna vers Aymi’ se rendant seulement compte qu’il avait toujours sa main sur le visage du jeune homme. Il se remit à parler sans pour autant l’enlever :

Max sourit de l’optimisme forcer d’Aymerick, même si il ne doutait pas qu’il avait du en voir bien d’autre. Cependant, il avouait qu’une petite visite à l’hôpital ne lui ferrait pas de mal. Max sourit à cette idée. Que ce passerait-il si Aymerick devait être hospitaliser et se retrouvait dans la même chambre que Maxime. Même si l’idée semblait assez cocasse voir comique, il rirait moins si elle se passait réellement. Mais il n’y avait pas de quoi s’inquiéter, Aymi’ s’en tirera qu’avec quelques points de suture pas de quoi faire un séjour prolongé.


Aymerick avait enlever la main de Max de son front pour la prendre dans la sienne. On pouvait sentir son pouls battre contre son poignet à une vitesse plus élevée que la moyenne ce qui avait bien entendu pas échapper à notre Playboy. Et si son hypothèse lui parût débile au début, les joues rougissantes de son idiot mignon le fit sourire.


Alors qu’Aymerick comptait planter Max pour se rendre seul à l’hôpital, son animashi se fit une fois de plus remarquer par son grand art de parler pour ne rien dire. Pika pendant ce temps, souriait simplement à Aymerick qui la regardait. Elle avait toujours été discrète, à l’image de Mike. On pourrait même dire qu’ils se ressemblaient en tout point.


Devinant à l’avance ce qu’il allait lui demander, comme à chaque fois sans exception, Pik-pik avait déjà passé tout les coups de fil. Rien à redire elle connaissait Max par cœur autant que Mike.


Max fit glisser sa main dans celle d’Aymerick qui ne l’avait toujours pas lâché, refermant ses doigts sur les siens. Il se trouvait maintenant face à son idiot mignon, si proche qu’il pouvait sentir sa respiration faire bouger ses cheveux déstructurés. Il l’embrassa sur la joue, juste à la commissure des lèvres, les effleurant légèrement avant de murmurer à son oreille :


Il avait susurrer ses dernier mots de la même voix torride, impossible à oublier, qu’il employait pour ses films pornographiques. Il n’essayait pas de cacher le double sens de sa phrase. Notre acteur a toujours eut aucun tabou sur ce qui se passait en-dessous de la ceinture, et si un jour il en avait eut, son métier les lui avait tous enlever. La proposition avait été faite, à Aymerick de l’accepter ou de la refuser.
Max se mit en route vers le téléporteur, le moyen le plus rapide pour rejoindre Ladya et lui faire la faveur de son corps avant qu’elle ne s’impatiente de trop et décide de punir notre acteur pour son retard. Il s’avança de sa démarche sensuel, et alors qu’il ne lui restait plus qu’un pas pour disparaître du champs de vision de son idiot mignon, il se retourna, le sourire malicieux, rabaissant ses lunettes sur son nez :


Max remit ses lunettes correctement et lui adressa son sourire le plus charmeur, tout simplement irrésistible avant de franchir le dernier pas qu’il le séparait du téléporteur sans même attendre la réaction d’Aymerick. Il ne savait pas vraiment pourquoi mais quelque chose lui disait qu’il le reverrait sûrement…

[ --> hotel - salle de bal =3 ]