Flash people =3 [ Privé : personnages connus aux longues fiches xD ]

Suite à une remarque d'Aymi-chou stipulant que personnes ne connaissait mon personnage alors qu'il était censé être hyper connu voici un petit résumé:




Nom & Prénom : Mike Yokimé

Surnom : Miky - Cherry chéri

Age :18 ans

Sexe : Masculin

Sexualité : Mike déteste tout ce qui concerne le sexe. Max, lui, il en raffole, fille ou garçon peu importe.

Ressemblance avec animal : Mike ressemble a un fennec autant point de vue caractère que par son physique.

Passion étude approfondie : Miky est passionné par le handball et étudie la gestion. Il est aussi le fameux acteur pornographique : Max

3/ Autres :

# Mike est accro aux cigarettes. Il préfère les shizo mais quand il est en panne il se contentera des virgina de Caro’ ou des killer strawberries de Lala.

# Miky va voir Maxime toute les semaines et attend avec impatience qu’il se réveille. Malgré les années, il l’aime encore plus qu’avant.

# Mike a choisi Max comme nom de scène en souvenir de Maxime et de leur concours de drague. C’est aussi une façon de montrer que le seul but de ce travail et de pouvoir un jour vivre heureux avec celui qu’il aime


Mise en situation :

« Je m’appelle Mike, Mike Yokimé, mais on me connaît plutôt sous le nom de Max. Max a vingt ans et est adoré par des milliers d’adolescents pervers car Max a un don. Un don interdit au moins de dix-huit ans, le genre de don qu’on a pas envie d’étaler au grand jour. Max est acteur pornographique, un des meilleurs du marché. Sa petite bouille d’ange et toutes les figures salaces qu’il est capable d’accomplir ont vite fait de captiver l’audimat nocturne. Max est richissime après tout les films qu’il a pu tourner en deux ans. Mais il n’est pas seulement riche, il est aussi célèbre. Beaucoup trouve qu’il est cool, le mec le plus branché du moment, toujours de sortie. Il est invité aux réceptions les plus importantes, les soirées les plus tendances, entouré des filles les plus belles aux tonnes d’arrières pensées. Max ne rentre jamais seul le soir et passe rarement ses nuits à dormir. Il peut avoir qui il veut, quand il veut, fille ou garçon, jeune ou vieux. Il n’a aucun scrupule : on le trouvera aussi bien dans le lit d’une pucelle de quinze ans que dans celui d’un vieillard sexagénaire. Tant qu’on y met le prix Max est partant. C’est un escort-boy de premier choix qui fera mourir de jalousie les rivales de sa cavalière. Cependant personne ne sait qui est réellement Max. Il est l’exemple même du mystère, on le connaît sans vraiment le connaître. Mais quoi qu’il en soit Max fait fantasmer les filles et inspire les garçons. Je hais Max, je le hais plus que tout. Malheureusement, Max et moi on ne fait qu’un.
Je m’appelle Mike Yokimé alias le si mystérieux Max. N’allez pas croire que je vais ça de gaieté de cœur, mon boulot m’écœure. Je déteste le sexe autant que Max l’adore. Il me fait ressembler à un pantin, ne montre aux gens que ce pseudo-moi, leur montre ce qu’ils veulent voir. Je n’arrive pas à comprendre ce qu’il y a d’intéressant à voir de parfais inconnus enchaîner figures sur pirouettes, râles sur cris aigus ou réciter un texte bidon d’une voix sensuel dans une mise en scène des plus médiocre. Car de toute façon, les amateurs de film érotique se fiche complètement du sens profond, ils veulent simplement du spectacles. Je déteste mon métier vous l’avez compris. Alors vous vous demandez sûrement comment j’en suis arrivé là. C’est une bien longue histoire, longue et lourde histoire. C’est l’histoire de l’innocent Mike devenu l’exubérant Max, l’histoire du bouleversement d’une vie, ma vie… »

* Mike Yokimé est le si célèbre acteur pornographique Max, de deux ans plus vieux que lui. Au fond de lui, il se déteste, son boulot l’écœure. Il ne le fait pas pour lui. Son seul but est, dans deux ans, avoir assez d’argent pour partir, oublier de tous avec celui qui a donné sa vie pour lui.

Plan de la vie de Mike :

10 ans ---> * Mike joue au handball dans la catégorie supérieur, il a un véritable don pour ce jeu. Il rencontre Maxime, fils de l’entraîneur, qui ne tarde pas à devenir son meilleur ami, comme un frère.

12 ans ---> * Le père de Mike quitte la maison. Il ne le reverra plus jamais. Sa mère se remarie avec son entraîneur. Maxime et Mike devienne demi-frère.

13 ans ---> * Année clef de sa vie. Venue des deux éléments déclencheurs :

Premièrement : * Maxime avoue son amour à Mike.



[…]

« A partir de ce moment, Maxime n’a plus caché ses sentiments. Il ne m’a jamais vraiment demandé pour sortir avec moi, mais vu qu’il ne recevait aucune résistance de ma part il avait prit ça pour un oui. Cependant, je n’ai jamais répondu à ses « je t’aime » et je savais qu’il en souffrait. Je lui avais pourtant dit de ne pas m’en vouloir. Ce mot sonnait trop creux sortit de ma bouche. Il est bien trop complexe, trop sacré.
La nouvelle ne mit pas longtemps à faire le tour du village. Pensez-vous, Maxime le beau gosse tombeur de fille était gay et qui plus est sortait avec son demi-frère ! Mais même si notre histoire faisait des gorges chaudes, Maxi’ s’en foutait royalement. Il n’avait pas peur de s’afficher avec moi, de me serrer dans ses bras ou m’embrasser devant tout le monde. Il se fichait des autres, il ne voyait que par moi. Après quelque temps, le village avait accepté le changement. A notre grande surprise, ce fut les filles qui l’acceptèrent le plus facilement. Elles n’arrêtaient pas de répéter qu’on était trop mimi ensemble. J’étais devenu comme le petit frère de toutes les copines canon de Maxime. Elles passaient des heures à me confier leurs secrets, me demander conseil ou encore à me faire jouer au espion amateur. Pendant ce temps Maxi’ s’entraînait au handball, il voulait décrocher une bourse dans une grande université sportive. Il détestait quand je passais mes journées avec les filles. Il était d’une jalousie morbide. A chaque fois qu’il venait nous rejoindre, il leur faisait bien comprendre que j’étais SON petit copain. C’est limite s’il ne disait pas « tu le touches je te butes ! ». Moi, je commençais à prendre goût aux marques d’attention qu’il m’apportait et à la protection dont il m’entourait. Toutefois, Maxime savait que s’il avait bientôt seize ans, je n’en avais encore que treize. Ainsi même si certains soirs il venait jouer avec moi ,il faisait toujours attention à ne pas aller trop loin, s’arrêter au bon moment, attendre que je grandisse. »

Deuxièmement : * Le père de Maxime, l’entraîneur de Mike, le viole.

« Ça faisait quelque mois que ma liaison avec Maxime avait commencé, et même avant j’avais l’habitude de le voir ouvrir la porte en pleine nuit et sauter que mon lit. S’en suivait des heures de conversation sur des conneries jusqu’à ce que ma mère nous crie d’aller dormir. Je n’étais donc pas étonné cette nuit-là de voir la porte s’ouvrir lentement. Mais la personne qui rentra dans ma chambre et en ferma la porte, n’était pas Maxime même s’il lui ressemblait. Thomas, sourire machiavélique sur le visage, s’avançait vers moi, un doigt sur la bouche. Je savais ce qui allait se produire même si je n’osais pas l’imaginer. Je m’étais donc recroquevillé dans le coin de mon lit, blessé tandis que mon entraîneur, la personne en qui j’avais mit toute ma confiance, enleva ses vêtements et s’avança vers moi. Tout les détails de cette nuit sont encore gravé dans ma mémoire comme au fer rouge mais je vous épargnerai cette scène. Qu’elle ne puisse pas vous choquez autant que moi. Mais le fait était là : Thomas m’avait violé. Et moi je tremblait sans un mot, des larmes coulant de mes yeux mi-clos. Je fus sortit de mon enfer par ma mère qui rentrait d’une soirée entre amies. Le bruit des clefs dans la serrures firent partir Thomas. Ca n’avait duré qu’une heure mais elle m’avait semblé durer une éternité, une éternité de malheur et de souffrance. »

14 ans ---> Maxime tombe dans le coma après avoir voulu venger Mike.

« Une fois de plus j’étais le faible qui se faisait protéger par le fort. Encore une fois, j’étais à l’abri pendant que Maxime recevait les coups à ma place. Mais cette fois je n’allais pas rester sans rien faire. Je me leva doucement, commençant à revêtir mes vêtements en réfléchissant à un quelconque plan d’action. Je me demandais justement à Pika d’appeler la police quand j’entendis crier. Mon sang ne fit qu’un tour. Je descendit les escaliers quatre à quatre mais arriva trop tard. Maxime était là, par terre, inconscient, les yeux grands ouverts.





Je courus jusqu’à lui, criant et pleurant. Ca ne pouvait être vrai. Je regardais le visage que j’avais tant admiré, enlevant le sang qui perlait les lèvres que j’aimais tant embrasser. Maxime respirait mais il était dans un piètre état… Il était dans le coma.

Pour le reste, mes souvenirs sont tout ce qu’il y a de plus floue. Je devais pas me rendre compte de ce qui se passait, mon cerveau fonctionnait au ralentit. La police était arrivé avec une ambulance. Thomas leur a expliqué que Maxime s’était cogné en se disputant avec moi. J’étais écœuré mais j’étais incapable de dire le moindre mot. Il faut dire que je le voyais mal expliquer à la police qu’il s’était battu avec son fils car il avait découvert que son père violait son petit copain qui est en même temps son demi-frère. Vous voyez un peu le bazar. Du reste je me souviens de rien, à part cette phrase. Cette phrase qu’une jolie infirmière m’avait dit en souriant tout en essuyant mes larmes.




Six ans, tu parles ! Six ans c’est des milliers d’années lumières. Six, c’est l’enfer. »


15 ans ---> * Le père de Maxime écope de cinq ans de prisons pour viol. Mike quitte la maison faisant route vers la capitale. Par la suite, il devient serveur au Cherry Night et fait la connaissance de Carole qui devient comme sa mère. Encore plus tard, il passe du statut de serveur à celui de chippendale.

« J’étais paumé et puisé alors quand Carole me proposa de remplacer un serveur absent en échange d’un lit et d’un repas, j’étais pas en mesure de refuser. L’étrange bar où les garçons, qui regardaient les formes plantureuses danser sous leur yeux, côtoyaient des filles qui se gênait pas pour regarder avidement les serveurs en jeans moulants et torse nu, s’appelait « Cherry’s Night ». la déco était drôlement réussie, j’aurais pu la résumer par sensuel sans être provocante, décontractée voir même intime. Cela restait respectable, du moins tant qu’on ne sortait pas de la partie restauration. A l’étage, la température montait et les chambres étaient rarement vide. A partir de ce jour, je suis devenu un « Mec cerise » comme nous étions surnommé par la gente féminine. J’étais le benjamin du groupe masculin dont la moyenne d’âge était seize, dix-sept ans. Il faut croire que l’endroit avait pour habitude de recueillir les fugueurs… »

[…]

« Carole m’avait adopté, pas sur le papier mais sentimentalement. J’étais devenu comme le fils de cette gogo-danseuse au caractère bien trempé. J’habitais chez elle, logé, nourrit, et choyé, en échange je participais au loyer et surtout, comme Caro’ avait bien insister, je suivais des cours de gestion par correspondance. Je lui avait raconté toute ma vie et elle me permettait d’aller voir Maxime quand je le souhaitait même si elle détestait me voir rentrer les larmes aux yeux. Ainsi se déroulait ma vie dans la capitale : les études le jour et la nuit le « Cherry’s Night ». »

[…]

« Mes débuts furent assez difficile, j’avais dur de sentir tout ces regards gourmands posé sur moi. Mais assez vite je finis par vaincre ma timidité. Je commençait à jouer le jeu de la séduction et il fallait avouer que ce que m’avait apprit Maxime était des plus concluant. Comme le disait Carole et les filles, j’avais le sourire le plus craquant qu’elle n’ait jamais vu. D’après Arnaud c’était ma bouille d’ange qui les faisait fantasmé. Ce qui, toujours selon lui, était dégueulasse car on choisit pas sa tête. Désolé mec mais Cherry chéri, comme on m’appelait au boulot – Caro’ avait insister pour que je choisisse un nom de scène pour préserver mon intimité. Il est vrai qu’elle avait plus que raison – gagnait des échelons. Car jamais Mike Yokimé n’aurait accepter de se hisser au rang de chippendale, Cherry chéri, lui, le fit pour de l’argent…

[ …]

« Quand Carole l’apprit, elle était plus que fâchée. Elle trouvait horrible qu’à quinze ans je vendes déjà mon corps pour de l’argent. Toutefois, elle acceptait quand même la part que je lui donnais mais on voyait bien qu’elle était mal à l’aise. On avait déménagé dans un appartement tout ce qu’il y a de convenable et on était plus obligé de constamment se serrer la ceinture. J’étais rentrée dans un cercle vicieux et le confort qu’il m’apportait m’empêchait d’en sortir. Au début, c’était raisonnable, je ne montais au premier qu’une ou deux fois par semaine. Mais avec le temps, je rivalisais avec les plus âgé des mecs cerises. J’étais, sans m’en rende compte, passé à une ou deux filles par nuit ! le bouche à oreille m’avait fait une véritable réputation. J’étais comme un nouveau plat que les curieuses venaient goûté et dont les gourmandes ne pouvaient plus s’en passer. Je compris, voyant l’ampleur que les choses prenaient, l’importance qu’avait le nom de scène. Il m’arrivait quand je sortais avec des potes – des mecs cerises bien entendu – d’entendre des filles parler de Cherry chéri. Je me suis toujours demandé ce qu’elle dirait si elles savaient que Cherry chéri était justement à coté d’elle. Je peux dire avec certitude que c’est à ce moment là que ma personnalité c’est scindé en deux : Cherry chéri deviendra Max, Max est Mike. J’ai deux facettes dont l’une grignote lentement mais sûrement l’autre. Elle me ronge peu à peu, forçant Mike à se battre pour exister. De toute les étapes qui m’ont façonné il ne vous reste plus qu’une à découvrir. Comment de chippendale au Cherry’s Night je suis passé à acteur pornographique professionnel. Ca c’est passé très vite et c’était encore une fois pour de l’argent. Le monde tournera toujours autour de l’argent car sans le moindre sous nous sommes condamnés à mourir. Bien triste est l’avenir… »

A suivre . . .

La suite . . .


16 ans ---> * Mike quitte le Cherry’s Night et s’installe en indépendant. Suite au paroles du père de Ladya, il signe son contrat d’acteur pornographique.

« J’avais maintenant seize ans, beaucoup de saloperies étaient encore venues bouleverser ma vie. Carole s’était fait virée du Cherry’s Night et cherchait un travail plus respectable. Mais dans la capitale le travail ça ne se trouve pas à chaque coin de rue. Cependant, nous n’avions aucune difficulté à boucler la fin du mois. Mon salaire nous suffisait amplement. J’avais quitter à mon tour le Cherry Night, même si j’avais gardé le surnom qu’on m’y avait donnée. Personne n’avait voulu me virer mais je m’étais lancé en indépendant. Je consultais à domicile sur rendez-vous et je dois dire en toute modestie que j’avais déjà à ce moment là un succès dingue. Un succès qui n’étais pas passé inaperçu aux yeux d’un professionnel, celui qui devient le réalisateur d’une bonne partie de mes films. Comme quoi tout est écrit à l’avance, on n’échappe pas à son destin. Moi je peux vous dire que cette connerie de destin, il m’a pas trop gâté. Dieu doit pas m’avoir à la bonne.

Cherry chéri était de service ce soir, au programme petite party chez Ladya. Lala, comme je l’appelais, je la voyais tout les mois. Comme elle le disait en riant, elle était devenue accro à mon corps. Après tout chacun sa drogue, même si mes cigarettes revenaient sûrement moins cher. Mais Ladya, dix-huit ans, un mètre septante de sex-appeal, n’avait aucun problème financiers vu qu’elle était capable de me payer 1.000 gets pour passer la nuit entière dans mes bras – entre nous, ça fait pas mal de paquet de schizo consommé tout ça. Son père était producteur et sa mère une ancienne pute de bas-étage pour reprendre ses mots. J’avais jamais vu son père avant ce soir à part de nom sur quelque D.V.D de la chambre de Ladya. Mais je m’égare encore et si ça continue je vais faire éclater mon disque dur à force de remplir des pages et des pages de traitement de texte. D’un coté tant mieux, ça découragera plus d’un de lire le récit de ma pitoyable vie. Bon, revenons à ce vendredi soir… »

[…]

« Son père s’était assis à l’envers sur une chaise en face de nous et m’examinait avec un sourire ironique.



[…]

« Le producteur de film pour adulte, puisque c’était son métier, ne m’avait pas lâché des yeux. Il semblait me juger à travers son sourire et son regard bienveillant. Il attendit patiemment que mes lèvres aient finit leur parcours avant de prendre la parole. Ces mots, jamais je ne saurais les oublier. De l’idée générale à la moindre virgules, ils ont changé le sens de ma vie.




Conclusion :

« Comme vous le devinez sûrement j’ai signé le contrat. Il a fallut truqué mon âge fut que j’était loin d’avoir ma majorité. C’est ainsi que je suis devenu Max’ : plus qu’un nom de scène une deuxième identité. J’avais cependant fait mon chieur en exigeant que dès que Maxime sortirait de son coma, peu importe le moment, mon contrat prendrait fin. Après mainte discussions, on m’accorda cette faveur. De toute façon je n’aurais pas signé sinon et ils le savaient. J’ai maintenant dix films à mon actif et je suis justement en tournage du onzième : les fruits de la passion. Il faut dire que pour deux millions j’ai pas trop le droit de râler sur le titre. Je continue ma vie normal sous le nom de Mike Yokimé. Je vis avec Carole dans un appartement tout ce qu’il y a de plus classe sur la grande place. Elle prends soin de moi comme ma propre mère. Elle en a d’ailleurs le caractère protecteur et curieux. En vérité, je suis peu connu sous mon vrai nom. Je me rends au collège que rarement pour voir les professeurs à la recherche d’un quelconque renseignement. Je vais aussi dans un club de hand-ball entre deux tournages. L’équipe sait cependant qu’elle ne doit pas trop compté sur moi. Mais mes équipiers se demandent pourquoi je ne viens pas plus souvent alors que j’ai un tel talent. C’est que loin de Maxime, Mike Yokimé n’a aucune raison d’être. C’est donc plus souvent sous le nom de Max que j’ai vécu ces deux dernières années – ce qu’on suppose quand on sait que j’ai déjà autant de films à mon actif.

Quand je deviens Max, je ne suis plus la même personne. Il y a aussi eu dans sa vie – qui est la mienne en fait – un changement. Pour éviter de me faire suivre par les paparazzis à tout bout de champs, j’ai décidé de sortir avec Ladya. Elle m’accompagne dans les soirées et me sert d’agent. Mais surtout sa présence me rassure, me donne la force de continuer. Cependant, le fait de sortir avec elle ne m’empêche pas d’aimer Maxime de tout mon cœur et puis de la tromper à tire l’arigo. Je l’avais prévenue quand je lui aies demandé de sortir avec moi. Je lui ai dit que je ne l’aimerais jamais comme elle le souhaiterais et bizarrement elle s’en fout. Elle dit que m’avoir dans son lit et de faire jalouser ses copines en disant qu’elle sort avec Max, la star du X lui suffit amplement.
Dans ma nouvelle vie, la chose qui ma le plus dépaysé c’est l’attention qu’on me porte et toutes ces filles qui sans même me connaître ne jure que par moi, sans oublier ces mecs qui me prennent pour leur modèles. On veut tout savoir de ma vie privée. Je me rappellerais toujours de cette question de ouf qu’on m’avait posé : « A quoi vous fait penser l’orgasme de votre petite amie ? » Allez franchement ! Même si je suis star du X c’est pas une question qu’on pose ! Je suis censé répondre quoi moi à ce moment là ?! Mais si on veut se rendre compte de ma popularité chez les plus de dix-huit ans, il suffisait de voir les sommes colossales que certains sont prêt à payer pour m’avoir dans leur lit ou même rien que pour les accompagner à une soirée. On peut dire que le père de Ladya avait réussit : en moins de deux ans j’étais devenu le plus riches et le plus célèbre des acteurs pornographiques…


Voilà, vous savez tout maintenant. Le moindre chamboulement de ma vie vous est connu, de la plus sérieuse des phrases à la blague la plus pourrie. Peut-être me jugerez vous mieux ainsi. Et vous vous souviendrez qu’une chose en cache toujours une autre, plus profonde : à chaque action sa réaction. Que mon histoire puis-ce servir d’exemple aux autres. Que plus jamais le silence ne cache nos troubles, la douleur la plus enfuies.
Et surtout, si jamais, toit que j’aime plus que la vie elle-même, tu venais à poser ton regard sur ces lignes. Il faut que je te le dise :
Je regrette de ne as te l’avoir révéler plus tôt, mais je veux que tu saches maxime, dès que tu te réveilleras et surtout que tu ne l’oublies jamais :

Fin =3

Quoi ?! Ma fiche est trop longue ? Mais je croyais que mes fans allaient tout de même faire l’effort de la lire ! [ C’est comme aller acheter un de mes albums, c’est vital ! * Baam * ] Bon, bon d’accord, je vais faire le résumé >_> Miky chéri, ton idée déforme tout le suspens de nos fiches, ouiin !


Nom&Prénom : Masuda Kimiko

Surnom : Kimi'

Age : 16 ans

Sexe : Féminin

Sexualité : Hétéro

Ressemblance avec animal : Ses yeux couleur oranges et son caractère jouissif font qu'elle ressemble aux mawtis. Ces animaux sont très rares et vivent dans les bois, évitant les humains par le crainte naturelle envers le monde. Ceux-ci sont souvent confondus avec les lapins, à cause de leur ressemblance au niveau des oreilles, de la forme et de leur tenue. Les mawtis se distinguent tout de même de ceux-ci par plusieurs caractéristiques : ils sont un peu plus enrobés que les lapins, et on chacun leur « fourrure » dans une couleur flash. Quand deux mawtis de la même couleur se rencontrent, un lien indestructible les unis. Il en est de même entre un humain et un mawti.

Passion étude approfondie : Elle est passionnée par le chant en premier lieu et la danse en second. Kimi' fait des études dans la biologie.

Autres détails à préciser :

Animashi : Celui de Kimiko a l'allure d'une jeune fille pas plus grande que 30 centimètres, avec des oreilles de lapin. Leurs liens sont assez solides et Kimi' ne la considère pas comme un simple objet. [ Après tout le boulot qu'elle fait pour trier les mails des fans et les autres, ce serait injuste de ne pas l'apprécier ! ] Elle s'appelle Lucia et est d'un tempérament plutôt timide et méfiants avec les inconnus. Pour ne pas être désagréable, elle préfère rester au studio et appeler Kimiko par l'oreillette ou alors rester cachée dans le sac de la jeune fille lorsqu'elle en a un. Au studio, Lucia est tout autre et est beaucoup plus fofolle.

RinRin : Rin’ est la mawti qui suit la chanteuse à la trace, grâce au lien qui les unies : toutes les deux sont de couleur orange, du moins, la fourrure de l’animal et les yeux de la star. La mawti est devenu manager du groupe, et est donc un devenu un membre à part entière de celui-ci. [ Même si au départ, elle voulait être à la batterie xD ]






Mise en situation :


« La foule commence à sentir le temps écoulé depuis son entrée dans le gigantesque simulateur. Ceux qui viennent d'arriver constatent avec désagrément qu'ils se contenteront simplement de regarder la star sur les grands écrans. Ne dit-on pas : premier arrivé, premier servi? Le grand inconvénient était que pour être en tête de file, mieux valait arriver 24 heures et même plus en avance... Mais ces gens retrouvèrent toute leur énergie lorsqu'ils virent arriver la chanteuse sur la scène. Son groupe, " Sacred" était lui aussi toujours présent. Et moi, assise sur un spot lumineux, j'observe du côté de ce public en délires, criant à tout rompre le nom de tous les membres du groupe.
Mais au fait, je ne me suis pas présentée. Je m'appelle Rinrin, mais tout le monde me surnomme Rin'. * C'est plus court et on répète pas deux fois le même son qu'elle disait... La bonne excuse ! * Je suis une mawti. [ … ]
Personnellement, j'ai toujours trouvé que « Sacred » prêtait à la rigolade, qu'on allait à leur concert pour leur rire au nez. Mais malgré son nom, aussi simple et même trop, Sacred était devenu le groupe le plus écouté d'Hoshizora et bien pour la qualité de ses chansons. »


Plan de l’histoire :

3 ans à Kimiko fait la rencontre de Rinrin dans les bois, pendant une promenade avec ses parents. Ceux-ci étaient venus dans le but de lui montrer à quel animal elle tenait ses origines. Rin’ ignorait encore quel était le lien qui allait les unir, mais les yeux oranges de l’enfant l’avaient fortement frappée. Il en fut de même pour Kimi’, qui avait pris la mawti dans ses bras, comme ci elles se connaissaient depuis longtemps.

4 ans à C’est ici qu’à lieu l’élément qui provoque le changement total de vie de Kimi’. Nous sommes en plein hiver, et la petite a vu ses propres parents se faire assassinés sous ses yeux. Elle a pu s’échapper, et la première chose qui lui était venue en tête était de retrouver Rinrin.

« J'étais de corvée pour vérifier si tout allait bien dans la forêt. Je dois vous avouer que j'en profitais pour vérifier si la petite famille n'était pas revenue, mais mes espoirs étaient vains. Pourtant, cette fois-là, j'étais bien loin des chemins de terre mais j'entendais du bruit, similaire à des petits pas rapides dans la neige. Je m'approchai discrètement et je revis Kimi' pour la deuxième fois. Cependant, le regard orangé était décoré par des larmes, coulant tout le long de ses joues. Souvent elle trébuchait dans la neige mais elle reprenait route, comme-ci elle cherchait quelque chose. Je n'attendis pas plus longtemps pour aller à sa rencontre, bien sûr. Je n'ai même pas eu le temps de dire un mot quelle essayait déjà de me parler, tremblante de froid.

" – Papa,… maman… Ils sont plus là. Il y a eu des hommes méchants qui sont venus et qui ont… qui ont… Ils m'ont dit de courir et je veux pas rester toute seule !! "

Malgré le fait que je ne la connaissais pas encore, cette fois, c'est moi qui sauta dans ses bras. Je voulais que ces larmes disparaissent et que son sourire revienne. Même si Kimiko n'avait pas terminé sa phrase, j'avais compris le reste, comme vous à présent je suppose…

"- Hé, arrête de pleurer, tu vas avoir mal la tête. Allez. Tu sais, tes parents ont rejoint le ciel, c'est certain qu'ils ne seront plus ici. Mais maintenant, ce sont des étoiles et quand le soir viendra, ils brilleront de mille feux pour toi. Ils verront ce que tu fais et je crois qu'ils ne seront pas contents s'ils te voient pleurer comme-ça, je me trompe? "

Après qu'elle m'ait fait "non" par un signe de tête, je me suis posée une question qui allait bouleverser ma vie : comment rester auprès d'elle sans quitter les miens? Un choix difficile se posait à moi et je décidai d'en parler avec les autres mawtis avant de décider de quoi que ce soit. J'ai dû, comme vous vous en doutez, emmener Kimi' avec moi dans le clan pour ne pas la laisser toute seule. Les mawtis se cachèrent comme ils le pouvaient, sauf mon père le plus sage de tous. * Je me suis quand-même demandée si c'était à cause de sa patte cassée qu'il n'avait pas bouger,… mais je préfère penser qu'il n'avait pas eu peur. * Mon vieux nous expliqua à moi et à Kimiko que lorsque deux mawtis de même couleur se rencontrent, des liens puissants [ c'est le puissant… ] se créent entre eux, de même entre un humain et un mawti. C'est à cet instant que je compris : Kimi' et moi étions toutes les deux oranges * elle ses yeux, évidemment * et notre longue amitié allait commencer. Je regardai mon père une dernière fois, comme un signe pour dire a revoir, avant de partir, Kimiko à mes côtés. »

6 ans àKimiko vit maintenant avec un oncle lointain, frère de sa mère depuis trois ans. Celui-ci s’est senti obligé de l’adopter, et ne lui mène pas la vie facile. RinRin était furieuse de ce comportement, mais voir Kimi sourire en ignorant son attitude l’a calmait un temps soit peu. Pourtant, un soir où elles discutaient sur le toit de la maison, la chanteuse lui avoua que ses 12 ans marquerait son départ.

12 ans à La star et la mawti fuguent de la maison de l’oncle pour traverser la ville sur les toits à minuit passé. Pour finir, elles arrivèrent devant le pensionnat d’Azaroshi, où Kimiko commencerait sa carrière.

« Après avoir attendu minuit sur le toit en ma compagnie, regardant le ciel encore plus étoilé que les autres fois, elle prit son petit sac à dos qu'elle avait préparé et s'enfuit, en parcourant les toits des immeubles. Elle chantonnait une chanson que nous avions composée ensemble pour s'amuser. Je dois bien avouer que pour son âge, s'était pas trop mal. Nous continuions à marcher sur les toits, avant d'arriver sur celui du pensionnat. Nous avions parcouru la ville entière et l'aube ne tarda pas à arriver. Mimi' sauta du haut du bâtiment, pour ratterir sur ses pieds à même le sol devant l'entrée du pensionnat. Je fus surprise de voir avec quelle expression elle fixait l'immeuble. Dans ses yeux, il y avait un mélange de joie, de fatigue et d'envie. On resta là, quelques minutesavant qu'elle ne se soit retournée dans ma direction pour m'interroger.

- Dis-moi, Rin, tu crois que j'ai une chance de devenir pensionnaire ici? Je chante tout le temps et tu dis que ça te casse pas les oreilles alors j'essaierais bien, non ?

- Eh bien... pour ce qui est du chant, je ne suis pas une grande professionnelle malheureusement et puis, tu n'as que 12 ans. Si ça tombe, tu chanteras beaucoup moins bien à 17 ans qui sait... Alors je ne sais pas.

- Pff ! C'est vrai, j'avais oublié.

- Attention, si ça tombe, ils apprécieront peut-être ta voix et essaieront de te la faire travailler.

- Mh-mh. D'autant plus que comme j'aime danser, je pourrais être..-

- Mais oui, la danse !! Rien ne t'oblige à rentrer directement pour le chant !

- Hein ?

- Kimi', tu pourrais dévoiler tes talents de danseuse et si tu le désires toujours, tu leur chanteras quelque chose vers 15ans. Ainsi, tu es déjà au pensionnat et après, tu pourras chanter comme bon te semble.

- C'est pas bête, ça ! On se présentera après les cours, hein?? Merci Rin !!


[ Super Miky c'est permit de régler tes problèmes de taille =P C'est dingue le nombre de code à bouger xD Tu appuie combien de fois sur les boutons toi ? o.O Mais t'inquiète je t'aime quand même flashouille de mon cœur =3 ]

La saga continue ! ( 8 ) [Pour la deuxième fois ù_ù xD ]


14 ans à La chanteuse est devenue pensionnaire depuis deux ans, acceptée pour son talent de danseuse qu’il faudrait améliorer un temps soit peu. Rin’ et Kimi étaient sorties du pensionnat pour se balader dans les rues. Mais elles étaient loin de se douter que le passé allait resurgir, ainsi que la rencontre de Maximilien, le batteur du groupe.

« Un jour, alors que nous étions en train de revenir de l’école, quelque chose retint notre attention sur le chemin. Il faisait calme, et nous avions la nette impression d’être suivies, dans cette rue devenue plutôt sinistre. Au départ, je pensais que c’était une hilarité sortie tout droit de mon imagination, mais Kimiko le ressentait aussi. Tremblante, je tournai légèrement la tête vers nos arrières, et j’entr’aperçus une ombre, se déplaçant d’un pas ferme, et dont le visage se faisait menaçant. Inutile de vous dire à quel point je tressaillis, et discrètement, je demandai à Kimi’ d’accélérer la cadence, ce qu’elle fit immédiatement. Et à mon grand regret, la silhouette ne sembla pas s’éloigner, pire, elle se rapprochait pour finir à attraper le bras de Kimiko. Son visage laissait paraître une sauvagerie sans égale, une folle envie de tuer. L’homme la regarda, comme pour la prévenir de sa proche fin, avant de sortir le couteau qu’il avait dans sa poche. Plusieurs fois j’ai tenté de le frapper, mais mes coups n’étaient pas assez forts pour le déstabiliser et encore moins l’inciter à partir. L’agresseur annonça à Kimi’ que c’était lui, le meurtrier de ses parents et, pour ne laisser aucunes traces de ce soir-là, voulait achever son travail. Mon amie se figea sur place, comme si elle avait oublié les intentions de la pourriture en face d’elle… De mon côté, je redoublai les coups, toujours sans succès. Je poussai un cri quand je vis l’arme s’abattre en direction de la poitrine de Kimiko quand un garçon, surgit de nul part, arriva juste à temps pour arrêter le coup porté par l’individu. J’entendis une ruée de coups, mais je n’osais pas regarder, trop peur de ce que je pourrais voir… C’est alors qu’après, à mon opinion, une dizaine de minutes qui m’avaient parues une éternité dans le noir des yeux fermés, j’entendis le son qui me permit de revenir à la lumière du jour : la police était enfin sur les lieux. Sur ma droite, je voyais Kimiko, plaquée au mur, la joue légèrement coupée ainsi que son bras. Et sur ma gauche, je pouvais apercevoir l’agresseur, contrôlé par le dit jeune homme par derrière. Sans aucuns doutes, c’était grâce à lui que Kimi’ était toujours vivante, et lorsque la police embarqua la pourriture * pardon du mot, mais c’est plus fort que moi * , je n’attendis pas une seconde pour remercier notre sauveur. Kimiko avait fait de même, quoiqu’elle était encore sous le choc de se qui venait de se produire. Vu que le jeune homme était lui aussi au pensionnat, nous en avions profité pour faire connaissance : Devant nous se tenait en fait Maximilien, qui depuis lors, était devenu le plus grand protecteur de Kimi’.
Le procès n’avait pas tardé à être établi, * vu les rares arrestations qui pouvaient se produire dans une ville * et, tout le long de celui-ci, Maxi’ et moi étions restés aux côtés de Kimiko, qui avait peur de retrouver cet homme. Mais tous les éléments penchaient en notre faveur, même si Kimi’’ n’aurait pas pu dire quoi que ce soit : Les empruntes trouvées sur le couteau, les témoins de la scène, la victime elle-même qui était là, * je parle comme un enquêteur… * De toute façon, nous aurions gagné. Cependant, je connaissais mieux que quiconque mon amie, et au fond de moi, je savais qu’elle parlerait, même si elle éprouvait de la peur. Je ne fus donc pas surprise quand elle raconta mot pour mot ce qui était arrivé… L’homme fut condamné pour tentative de meurtre, et enfin, Kimi’ pourrait à nouveau sourire comme à son habitude. Je me doutais que ce ne serait pas si simple, mais j’y croyais. Malgré les difficultés, la petite fille égarée dans la forêt trouvera toujours le moyen d’avancer. »

Fin de ses 14 ans à Kimiko est hantée par ce qui s’est passé, et les nuits remplies de cauchemars se font rudes. Mais quelques temps plus tard, elle arrive à se calmer et Rinrin décide de lui proposer de faire une balade sur les guirlandes lumineuses pour vérifier son état. Généralement, quand Kimi se sent tracassée, elle n’accepte pas, de peur de tomber. Ici, elle se sentait d’attaque pour cette « promenade » et resta pendant un long moment en train de marcher sur les guirlandes avec la mawti, jusqu’à ce que Takuto et Louise apparaissent. Ceux-ci étaient inquiets de voir la jeune fille risque sa vie chaque seconde sur ce fil, et le début de leur amitié débuta à eux aussi. Le groupe des Sacred était donc au complet.

15 ans à Kimiko va trouver le directeur du pensionnat pour lui présenter une chanson et dévoiler sa passion pour la chanson. Ce dernier fut abasourdi par le talent de la jeune fille, et décida, un mois plus tard, de lui accorder l’autorisation de chercher quelques personnes pour bâtir un groupe. Il est évident que Takuto, Louise et Maximilien sont de la partie et ensemble, ils répètent d’arrache-pied.

16 ans à Sacred sort son premier album et les disquaires sont en rupture de stock pour celui-ci ! Le disque fut une vrai réussite et le concert fut donné pour le 15 juillet 279 qui lui aussi, fut un franc succès.

Conclusion :

« Quand je repense à tout ce que l'on a enduré ensemble, je me dis que le groupe mérite plus que n'importe qui d'autres d'être arrivé au sommet de la gloire. C'est un peu après l'anniversaire de Kimiko que Saced est devenu numéro 1 des ventes. Et même si les nombreux cadeaux de ses fans lui avaient fait plaisir, le plus beau de tous était pour elle sa carrière, offerte par tout Hoshizora. La planète entière avait contribué à cela, peut-être même sans s'en rendre compte, des fois. Mais les vedettes ont décidé à cette période de quitter le nid comme on dit. Finies les soirées au pensionnat où on se sentait perdus sans les adultes. Toujours dans le centre d'Hoshizora, en plein coeur d'Azaroshi, les jeunes ont acheté pour eux quatre un studio dans lequel ils vivront en temps que locataires et où ils pourraient répéter sans problèmes. Le studio était colossale et on se demandait même si s'en était un parfois. Je vais vous épargner la description des lieux, vous seriez trop jaloux du luxe dont à présent, ils peuvent s'offrir. Tout ce que je peux vous dévoilez, c'est que, grâce à ce projet, leurs liens s'étaient encore soudés en remplaçant l'amitié par ce que chacun avait rêvé : une famille unie.
Et voilà, notre histoire prend fin. Le concert aussi d'aileurs. * Quel timing ! * Bon, mes loulous, je vais vous laisser, j'ai un groupe à manager, moi ! Passez nous voir à notre prochain concert. »



Et voilà mon p’tit Miky [Je me suis permise d’adopter la structure quasi identique ^^’’ ] J’ai bien cru que j’y arriverais jamais T_T Je vous jure les gens, incapables de lire une fiche qui fait seulement quatre posts ! C’est –in-com-pre-na-ble ! [ Ben oui, je l’ai lue moi, l’histoire de Miky, J’ai même lu la mienne ! * Baam ! ù_ù * Et j’en suis fière, na ! ]

Vous ne croyez tout de même pas que j'en avais fini avec vous ? Eh oui mesdames et messieurs, que serait la chanteuse... sans chansons ? ^^'' Et que serait Kimiko sans son Miky chéri, qui est devenu un grand auteur/compositeur des Sacred ? <3 Rien, je vous le dis, rien ! [ J'ai bien une chanson que j'ai faite moi-même mais je trouve la qualité plutôt basse de gamme ^^'' ] Alors, hommage à Miky chéri, voici le premier single de l'album " The silence of the Dark" intitulé " It's to make nothing more"


Couplet 1


Lent :

Une histoire, une histoire comme il y en a des milliers.
Une histoire, notre histoire pour l’éternité.
Jamais, jamais je ne saurais t’oublier.
Jamais, jamais je ne saurais l’abandonner.
Ce désir qui grimpe au fond de moi,
Q’un jour, une fois, on s’unira.

Si j’avais cru, si j’avais su, si j’avais pu.
Le destin moi je n’y crois plus.
Tes yeux, ta voix, ton sourire,
Tes gestes, tes envies, tes désirs
J’aurais tellement du te retenir.

Refrain :

Rapide :

Puisque le temps j'en ai plus rien à faire, laissons tomber les barrières. ( It’s to make nothing more ). I love you. I rock you. Maudire la terre, faire tourner le monde à l’envers, écraser les frontières. ( It’s to make nothing more ). I love you. I rock you. Car je me moque de ce qu’ils peuvent dire. Leur passé n’est pas notre avenir. Pourrais-tu un jour me revenir ? I love you. I rock you. Because It’s to make nothing more. Oh oh oh

Couplet 2

Rapide :

Marre de jouer à « je suis heureuse tout va bien »
Je n’ai pas envie qu’on suive un autre chemin.
Les remords ne vous aident pas à vivre.
Je ne veux plus terminer mes soirées ivres.
C’est fini, la vie ne m’apprendra rien.
Je meurs mes yeux loin des tiens.


J’entends encore ta voix à mon oreille
Nos rêves de monts et merveilles
Le futur est à portée de main
Rappelle-toi quand on avait faim
Faim d’amour et de gloire
Nourrie par tous nos espoirs.

Lent :

Maintenant je suis prisonnière,
De mes peurs de ma misère,
Peur, peur de mourir sans toi.
Peur, d’oublier toute joie.
J’aurais tellement du te retenir.

Refrain :

Rapide :

Puisque le temps j'en ai plus rien à faire, laissons tomber les barrières. ( It’s to make nothing more ). I love you. I rock you. Maudire la terre, faire tourner le monde à l’envers, écraser les frontières. ( It’s to make nothing more ). I love you. I rock you. Car je me moque de ce qu’ils peuvent dire. Leur passé n’est pas notre avenir. Pourrais-tu un jour me revenir ? I love you. I rock you. Because It’s to make nothing more. Oh oh oh

Couplet 3

Rapide :

Un coup de fusil, une décharge,
Notre vie s’effondre comme un crash.
Pourquoi, pourquoi es-tu resté cette nuit,
Pourquoi, avec moi, ne t’es-tu pas enfui ?
Ainsi tu es parti rejoindre les cieux,
Nul miracle accordé à mon seul dieu.

Je les hais comme il est interdit d’haïr.
Quel but y avait-il à nous détruire ?
J’ai envie de crier, percer le mur du son,
Mais je me contente de te parler dans cette chanson.
C’est fini, je n’arrive plus à dormir,
Je sens doucement ma vie pourrir.

Lent :

Est-il vraiment interdit d’aimer,
Aimer sans fin sans compter.
Ils ont haï nos différences,
Moi, j’haïs leur indifférence.
J'aurais tellement du te retenir.

Refrain :

Rapide :

Puisque le temps j'en ai plus rien à faire, laissons tomber les barrières. ( It’s to make nothing more ). I love you. I rock you. Maudire la terre, faire tourner le monde à l’envers, écraser les frontières. ( It’s to make nothing more ). I love you. I rock you. Car je me moque de ce qu’ils peuvent dire. Leur passé n’est pas notre avenir. Pourrais-tu un jour me revenir ? I love you. I rock you. Because It’s to make nothing more. Oh oh oh


Chanson composée par Spidy, l’auteur compositeur des Sacred =3